Les tombes de Bernard Marrot (1855-1920) et de sa mère se trouvent au bord des jardins de Monlong.
Bernard Marrot, conseiller général de la Haute-Garonne et maire adjoint de Toulouse, légua le domaine à l’Institut Agricole de Toulouse en 1920. Aujourd’hui la propriété appartient à un particulier et ne couvre plus que 6 000 mètres carrés alors qu’elle couvrait au départ 40 hectares.
Un signe à l’extérieur, daté de mars 2013, annonce la création de logements aux pieds du château…
Bernard Marrot and his mother’s graves are located at the edge of the Gardens of Monlong.
Bernard Marrot, a general councilor for Haute-Garonne and deputy mayor, left the property to the Agricultural Institute of Toulouse in 1920. The property today is private owned and covers 1.5 acre compared to the original 100 acres.
There is a public sign outside the property, dated March 2013, announcing a housing project at the foot of the castle…
La carte en n et b a du charme
ReplyDeleteTu as coupé , tronqué les pieds de chrysanthèmes!
ReplyDeleteMissive,
ReplyDeleteBon d'accord, j'ai essayé de me racheter...
I wonder what he would think of a housing project on his beloved property. Such is progress.
ReplyDeleteMiss Yves avait raison :-) l'image s'anime avec cette harmonie de rose, de gris et de ce vert feutré !
ReplyDeleteainsi finissent les grandes "propriétés"...vite des photos avant les logements...
ReplyDeleteAh ! Merci! J'apprécie, non seulement le jeu de couleurs dont parle fifi, mais l'harmonie de la composition, et surtout l'hommage à la vie rendu par ces fleurs!
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ReplyDeleteMa vie
Devant ce chrysanthème
Se tait soudain
Mizuhara
Il faut que je t'envoie des liens vers des sites consacrés aux chrysanthèmes en poésie
Lovely photos of the grounds.
ReplyDeleteNice post.
ReplyDeleteMarie Roubichou, épouse Marrot, est morte en 1903, et Bernard Marrot en 1920. On ne voit pas la date de naissance de Marie Roubichou.
ReplyDeleteDonc, Marie Roubichou devait être l'épouse de Bernard Marrot, pas sa mère...
Bien loin du haïku de Miss Yves, une partition de circonstance
ReplyDelete(Et si le lien ne fonctionne pas...)
Patricia:
ReplyDelete18 août 1835- 3 novembre 1905
Miss Yves ferait elle une crise sur le thème !!!
ReplyDeleteRien n'y fait quoi qu'on disse les cimetières sont plein de gens "irremplaçables" !
Très belle semaine.
A + :o)
Un tombeau qui ressemble à un bunker... "Roubichou" ferait un joli nom pour un personnage de Modiano (dont, comme une de nos ministres, je n'ai lu aucun ouvrage, mais j'en ai lu beaucoup de Doris Lessing)
ReplyDeleteI suppose the housing is needed. As Judy said, such is progress.
ReplyDeleteMerci, Thérèse, pour l'information sur Madame Marrot, mère de Bernard.
ReplyDeleteBon, avec une telle tombe, pas vraiment écolo, on ne s'attendait pas à voir une masure à la place du château. Des gens très près du peuple, n'en doutons pas.
http://www.reporterre.net/spip.php?article6290
Here's hoping the housing project doesn't overtake the gardens. We need to preserve some of the graciousness of the past.
ReplyDeletePatricia,
ReplyDeleteUne realisation que j'aimerais voir etendue de facon mondiale, alors les chrysanthemes trouveraient grace a mes yeux. :-)
"Roubichou "pour un roman de Modiano ?????????????
ReplyDeleteCergie il faut te mettre à sa lecture!
Oui, je vais faire une crise en thème!
J'aurais aimé entendre la musique de la partition communiquée par Mine Derrien...
Pour reprendre le comm de Daniel, tu connais :
ReplyDelete"mais où est ce qu'on les enterre ? "Marie Paule belle
Missive
ReplyDeleteBon effectivement quand on me prend par les sentiments et que je vois des "Ozukuris" la j'ai tendance a revisiter mes idees...
J'ai aime relire les paroles de la chanson de Marie-Paule Belle.:-)
J'aurais aimé voir cette exposition au Grand Trianon!
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