Le couvent des Jacobins dont j'avais évoqué le palmier ici respire comme toujours le calme et la quiétude, peu de visiteurs.
In the heart of the city
The Jacobins convent I outlined earlier here with its famous Palm Tree breaths quietness and peacefullness and there were only few visitors that day.
Toulouse, le couvent des Jacobins, 2016Rentrons par une double porte dans ce qui servait de salle à manger à l'époque c'est à dire aux alentours de 1303.
Let's get in one of the adjoining halls through a double door. This hall was in fact used as a dining room, that is, in 1303.
Changement de décor: Hans Op de Beeck veut ici nous faire traverser ce paysage de sable et nous faire ressentir des émotions, évoquer des souvenirs personnels ou même, pourquoi pas, historiques. Les sons (murmures) et les odeurs (bâtons d'encens) aident à cette traversée.
Change of scenery: Hans Op de Beeck let us walk through this sandy landscape and wants us to experience personal souvenirs or even historical ones. Sounds (murmurs) and smells (incense sticks) help us through this journey.
" Le jardin des murmures" - "The garden of whispers"
* Je vous recommande d'aller sur le site de Hans Op de Beeck où ses oeuvres sont très diversifiées et pour certaines me donneraient envie d'aller voir de plus près.
* In any case I would recommend that you visit Hans Op de Beeck's website, you will discover that his works are varied and a few among them would entice me to go and see them.
Coucou Thérèse.
ReplyDeleteNeuvaine , retraite ? Le lieu si prête !!!!
Passe un bon weekend, A + ☼
Personnellement je n'ai ressenti aucune émotion, il faut avouer que l'agencement et les composants ne faisaient pas très réalistes. Mon seul souci était de savoir comment ils allaient retirer tout cela! J'ai préféré parler avec la jeune gardienne.
DeleteBeautiful shots. The first and last are my favorites as I seem to be transported into them.
ReplyDeleteJ’aime beaucoup l’ensemble.
ReplyDeleteLe cloître d’abord parce que je raffole de ces lieux-là. Leurs colonnes me donnent le sentiment de retrouver une forme de verticalité, le fait qu’elles soient posées avec tant de force sur le sol me permettent de m’y ancrer et ce ciel toujours ouvert dans les cloîtres, de m’élever sans effort, il suffit que je lève les yeux.
Bien que je ne sois pas croyante, les monastères, couvents et abbayes, m’apaisent et me rendent sereine (au moins le temps que j’y passe). C’est peut-être le « sacré » des autres qui me saupoudre sans que j’y prenne garde…
Je vais peut-être t’étonner mais j’adore l’exposition de Hans Op de Beeck, au moins visuellement (je n’ai pas senti l’encens ni entendu les chants murmurés). Les photos du lien que tu nous donnes m’ont embarquée dans un autre monde (celles du couvent mais j’aime aussi les autres) ancien.
Tu sais, j’ai travaillé en Israël au temps de ma jeunesse et j’ai eu le privilège de passer quelques jours chez les bédouins. Et bien dans ces photos de sable, de tentes, de feu de bois, de bidons d’eau suspendus, de couches à même le sol, je me suis retrouvée bien longtemps en arrière, près de ces nomades merveilleux.
Sais-tu ce qu’est censé symboliser cette expo particulière ?
Voici ce que je viens de trouver ici, j'espère que cela éclairera ta lanterne.
DeleteLe fait de ne pas connaître la vie dans le désert probablement y est pour quelque chose dans ma réaction par rapport à cette mise en scène.
Les photos seules bien sur ne peuvent que, jusqu'à un certain point, rendre l'atmosphère.
Merci Thérèse.
DeleteBien sûr que non, les photos ne rendent pas totalement l'atmosphère mais il y l'idée et les réminiscences...
J'ai de vieilles diapositives quelque part, de ces campements bédouins, mais seulement de l'extérieur puisque les femmes ne devaient pas être photographiées. Il faudrait que je trouve un professionnel pour les tirer sur papier. J'aimerais bien les revoir.
L'idée de faire revivre ces lieux aujourd'hui désertés par ceux pour qui ils étaient faits est intéressante. Même si parfois les expos sont étonnantes, cela incite de nouveaux visiteurs à y entrer.
ReplyDeleteSurprenant!
ReplyDeleteMerci pour cette découverte.
Merci, Therese, de nous avoir montre ces photos. Je m'imagine toujours dans des cadres pareils, il y a si longtemps....
ReplyDeleteThat convent is beautiful but, that artwork is amazing. I checked the web site. Wow, he has an amazing vision. I think the silent library was my favorite but they are all so very interesting.
ReplyDeleteBonjour Thérèse. J'aime quant à moi beaucoup visiter les cloîtres car il s'en dégage toujours une grande paix intérieure, à peine troublé par le silence des pierres et par l'eau qui ruisselle dans une petite fontaine. Par contre, j'avoue être assez fermée à l'art de monsieur de Beeck.
ReplyDeleteVery interesting art installation. The building is beautiful.
ReplyDeleteJ'aime beaucoup ta première photo, elle est belle, par contree pour le reste j'adhère moins.
ReplyDeleteBises
As-tu entendu le silence du désert ? Malgré les murmures ?
ReplyDeleteOu as-tu rencontré le renard ou le petit prince...
Non, je n'ai malheureusement rien entendu même si j'étais dans les meilleures conditions possibles étant seule à traverser le "désert".
DeleteCe campement bédouin ressemble surtout pour moi aux pauvres campement des poilus (dont mon grand'père) dans le froid de l'hiver et sous les balles >
ReplyDeletehttp://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2014/07/03/26002-20140703ARTFIG00069-le-langage-des-combattants-de-la-grande-guerre.php
Mieux vaut ne représenter que sous cette forme la Grande Guerre, j'ai toujours du mal à l'évoquer...
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